Analyse comparée du cycle de vie entre une batterie recyclée et une batterie non recyclée.
À qui s’adresse cette mission ?
Aux étudiants de la SHIFT YEAR. Des étudiants titulaires d’un M1 en césure, ou d’un M2 (ou équivalent à voire en post M2) dans différentes disciplines. A titre indicatif et non limitatif : ingénierie de projet, sciences politiques, communication, sociologie, ressources humaines, droit, gestion des organisations, environnement des entreprises (RSO et RSE), etc.
Une équipe pluridisciplinaire de 4 étudiants est constituée pour mener cette mission à bien.
Le donneur d’ordre : Euro Dieuze Industrie (SARPI@VEOLIA)
Le contexte :
Les enjeux climatiques actuels nous incitent à nous questionner sur nos modes de vie, et poussent la Commission Européenne à réglementer l’usage des véhicules thermiques dans les années à venir. Elle a ainsi défini l’objectif de l’interdiction de la vente des véhicules à moteur thermique d’ici à 2035. Ces véhicules seront petit à petit remplacés par des véhicules à moteur électrique. Mais pour qu’il y ait un véritable intérêt écologique à cette substitution, il est nécessaire d’améliorer et d’augmenter le recyclage des différents composants d’un véhicule électrique et en particulier sa batterie.
Le groupe SARPI (filiale de Veolia, spécialisée dans le traitement des déchets dangereux) a développé un processus de recyclage permettant la remise au marché des principaux matériaux nécessaires au stockage de l’énergie électrique (Cobalt, Nickel, Lithium, etc.). L’analyse du cycle de vie d’une batterie recyclée est alors nécessaire pour démontrer l’intérêt écologique d’un tel procédé.
L’objectif :
Expliciter le bien-fondé de la mise en place d’un processus de recyclage des batteries tel que l’envisage SARP Industries pour participer à la transformation écologique de la société.